VIOLENCES NOCTURNES À BELLEVUE
Pas moins de trois événements de violence ont secoué la cité de Bellevue dans la nuit du 20 au 21 mars à Bellevue; certains citoyens ont prétendu se sentir quelques années auparavant, au moment de la grande crise.
Le premier incident s'est produit au centre-ville, dans un bar populaire, qui a visiblement été victime d'une attaque quelconque, accidentelle ou délibérée, d'empoisonnement des clients par l'air. Des rumeurs contradictoires circulent présentement, à l'effet qu'une substance aurait été filtrée dans l'air ou versée dans les verres, qui aurait engendré un état de panique de de violence dans la pièce. Les chiffres exacts n'ont pas encore relâchés, mais il y aurait eu des morts et des blessés. La virulence des produits aurait nécessité l'intervention d'équipes spécialisées pour contrôler les lieux.
Le second incident se serait produit dans le quartier Ste-Marie, dans une maison de jeunes, alors qu'un incendie mineur aurait forcé l'évacuation des occupants de la maison. D'origine possiblement criminel, l'incendie a été remarquable dans sa violence et sa spontanéité. Il semblerait que le gardien de nuit, un travailleur social du nom d'Édouard Ricard, serait disparu sans laisser de traces. La police spécule qu'il est peut-être responsable de l'incident.
Le troisième, plus spectaculaire, s'est produit en banlieue du quartier industriel, est en fait une explosion qui a détruit un vieux bâtiment condamné depuis quelques années, et qui avait récemment été reconverti, selon les autorités, en repaire pour les gangs de rue. Une investigation aurait révélé que deux individus auraient trouvé la mort dans l'explosion, mais la police n'a pas encore réussi à les identifier par leur ADN.
La mairie a émis la possibilité d'imposer un couvre-feu, si les violences dont notre cité est victime depuis quelques mois ne se calment pas. On parle même, dans les coulisses, de faire intervenir des forces spéciales ou même de dépêcher un contingent militaire pour patrouiller la cité.